Citations de livres

Pour partager vos passages préférés x)

Ennemis - Charlie Higson:

AHN J'EN AI TROP PLEIN A METTRE IL EST TROP BIEN CE SUJET.

Hunger Games / L'Embrasement / La Révolte (sans trop spoiler) :

« J'ai l'impression d'avoir connu Rue, par contre, et son souvenir ne me quittera jamais. Je la retrouve dans tout ce qui est beau. Je la vois dans les fleurs jaunes qui poussent dans notre Pré devant chez moi, dans les geais moqueurs qui chantent dans les arbres. Mais surtout, je la revois dans ma petite soeur, Prim. (Ma voix se fêle, mais j'ai presque fini.) Alors, merci pour vos enfants. » L'Embrasement.

« - Reste avec moi, je lui souffle.
Tandis que le sirop de sommeil m'enveloppe d'une douce torpeur, je l'entends murmurer un dernier mot, que je ne comprends pas. » L'Embrasement.

« Je cherche du regard une belle image à emporter avec moi.
  Juste avant les premières explosions, je trouve une étoile. » L'Embrasement.

« Il ne faut surtout pas te laisser aller. C'est dix quoi plus long de se reconstruire que de s'écrouler. » La Révolte.

Nos Etoiles Contraires :

« Tu m'as offert une éternité dans un nombre de jours limités, et j'en suis heureuse. »

« Sans souffrance, comment connaître la joie ? »

« Mes pensées sont des étoiles qui ne veulent plus former de constellations. »

« Tant qu'on ne l'allume pas, la cigarette ne tue pas, a-t-il déclaré, quand maman est arrivée à ma hauteur. Et je n'en ai jamais allumé une seule de ma vie. C'est une sorte de métaphore. Tu glisses le truc qui tue entre tes lèvres, mais tu ne lui donnes pas le pouvoir de te tuer. »

« Je suis amoureux de toi et je sais que l'amour n'est qu'un cri dans le vide, que l'oubli est inévitable, que nous sommes tous condamnés, qu'un jour viendra où tout ce qu'on a fait retournera à la poussière, je sais aussi que le soleil avalera la seule terre que nous aurons jamais et je suis amoureux de toi. »

« Tu es trop occupée à être toi-même, tu ne réalises pas que tu es exceptionnelle. »

« ― Les gens s'habituent à la beauté.
― Je ne me suis pas encore habitué à toi, a-t-il répliqué en souriant. »

« Le chagrin ne vous change pas, il vous révèle. »

« J'ai compris que les hommes ne peuvent se satisfaire de rêves réalisés, car il reste toujours l'idée que tout peut être refait, en mieux. »

CITATIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIONS

Je vais monopoliser ce topic x)

Pour commencer, quelques citations de Rainbow Rowell, je viens de finir Fangirl *O*
« T'as déjà vu un alpaga ? C'est, genre, un lama en vingt fois plus cute. Non, je te jure ! Imagine un lama trop mignon, puis continue à monter son niveau de mignonitude, genre à bloc ! Et leur laine, c'est trop fort, c'est même pas vraiment de la laine ... C'est une sortie de fibre hypoallergénique ... »

« Est-ce que c'est vraiment trop douloureux de dire une fois ou deux : "c'est vraiment trop douloureux : j'arrête" ?
-Il y a eu de fâcheurs précédents dans la famille ...
-De personnes qui ont voulu éviter la souffrance ?
-De personnes qui ont voulu éviter la vie. »

« J'ai énormément de respect pour tes bras : j'adore cette façon qu'ils ont de s'accrocher au reste de ton corps. » (J'étais morte de rire en lisant ça xD)

« L’engagement, c’est la chose la plus noble et la plus courageuse que deux êtres puissent s’offrir. »

« Et plus je tiens à quelqu'un, plus je suis convaincue que cette personne va finir par se lasser de moi et partir. »

« Mais toi, tu attends. Tu attends jusqu'à ce que tu en oublies que tu es en train d'attendre ; jusqu'à ce que tu en oublies qu'au delà du calme et de l'impassible, un monde entier s'agite. »

« Pour autant, je suis auteure, moi aussi, et je sais combien on peut être aisément distrait quand on écrit. Parfois, on recherche même la distraction: tout est bon, jusqu'à la plus insignifiante des tâches, pour nous empêcher d'affronter l'horreur de la page blanche.(Elle sourit à l'un des étudiants.) Ou de l'écran blanc. [...] Toutefois, je vous en conjure: [...] jetez-vous à l'eau. Isolez-vous du monde extérieur, coupez Internet, barricadez portes et fenêtres, écrivez comme si votre vie en dépendait. Comme si votre futur en dépendait. »

Chroniques de la fin du monde, tome 1 : Au commencement de Susan Beth Pfeffer :
« D'après lui, l'histoire fait de nous ce que nous sommes, mais nous pouvons aussi faire l'histoire et n'importe qui peut devenir un héros s'il choisit de l'être. »
« Le truc bizarre avec la fin du monde, c'est qu'une fois que ça commence, ça ne semble jamais devoir s'arrêter. »
« La vie perdure. C'est mon intime conviction. »
« Parfois, il est plus facile de pleurer pour des gens que l'ont ne connait pas que de penser à des gens qu'on aime vraiment. »

Le Secret de l'Inventeur, tome 2 : L'Enigme du Magicien d'Andrea Cremer :
« J'attendrais. Jusqu'à ce que les étoiles s'éteignent, s'il le faut. »

Les filles sauvages de Pat Murphy :
« Il y a des fois où tu es obligée de croire à des choses absurdes. Parce que les autres explications font trop mal. »
« Quand j'étais petit je lisais des tas de livres, je dévorais. La lecture, je trouvais ça magique. Plus tard, je me suis rendu compte que je ne trouvais pas de livres capables de m'emmener partout où j'avais envie d'aller. [...] Pour aller dans ces endroits-là, il fallait que je les écrive moi-même. »
« N'importe quel menteur peut inventer des choses. Mais un bon écrivain est bien plus habile qu'un menteur. Un bon écrivain dit la vérité en racontant des mensonges. »
« Le monde est très différent avec d'autres yeux. »
« Ecrire, c'est observer attentivement le monde. »
« Est-ce perdre son temps que de faire quelque chose qu'on aime ? »
« Ce que les autres pensent de moi ne change rien à qui je suis. »
« Avez-vous déjà vécu un de ces moments où tout bascule ? Tout est normal, tout se passe comme d'habitude et brusquement survient un événement qui vous donne l'impression que l'air ambiant se cristallise. Tout ce qui vous entoure devient extrêmement net. Vous remarquez tous les détails. »

Et plus encore de Patrick Ness :
« Il y a toujours de la beauté. Si tu sais où chercher. »
« Nous sommes tous ce que nous avons. »
« "Improbable" ne signifiait pas toujours "impossible". »
« Je pensais que j'avais autre chose. [Qu'il] était autre chose. Peu importe que le reste pèse cent tonnes. Owen, mes parents, et même plus tard, le lycée. Je pouvais vivre avec tout ça, parce que je l'avais, lui. Il était à moi et à personne d'autre. Nous vivions dans un monde à nous, dont personne ne savait rien et où personne n'avait jamais vécu. C'était mon autre chose, mon plus, vous comprenez ? La chose qui rendait tout le reste supportable. »

Animale, tome 1 : La Malédiction de Boucle d'or de Victor Dixen :
« Il y a un soulagement à découvrir l'origine de sa différence. Il y a un soulagement à apprendre enfin pourquoi on a souffert pendant toute son existence, et surtout que l'on n'en est pas responsable, que l'on doit juste vivre avec. »
« La jalousie peut pourrir le cœur des meilleurs hommes. »
« Les passions qui ne parviennent point à s'exprimer ne meurent pas : elles se transforment. »

Un goût de cannelle et d'espoir de Sarah McCoy :
« En dépit de tous les faits que nous pensons connaître, la vérité peut-être une chose incroyablement difficile à saisir. Elle est embrouillée par le temps et l'humanité, et par la façon dont chacun vit sa propre expérience. »
« Personne n'est mauvais ou bon par naissance, nationalité ou religion. Au fond de nous, nous sommes tous maîtres et esclaves, riches et pauvres, parfaits et imparfaits. Je sais que je le suis et lui aussi, il l'est. Nous tombons amoureux malgré nous. Nos cœurs trahissent nos esprits. »
« J'ai appris très jeune que les morts ne peuvent sauver les vivants. Nous seuls pouvons le faire. Tant qu'il y a de la vie, il reste de l'espoir. »
« Nous portons tous nos propres secrets. Certains sont plus à leur place enterrés avec nous dans la tombe. Ils ne font aucun bien aux vivants. »
« Ça faisait du bien de faire comme si le monde était merveilleux ; avaler les peurs, engloutir les souvenirs, baisser la garder et profiter, ne serait-ce que l'espace de quelques heures. »
« Je ne me suis jamais laissé impressionner par les grandes démonstrations de romantisme. L'amour est dans les petites choses, les attentions quotidiennes, la gentillesse et le pardon. »

L'agent des Ombres _ Michel Robert


- Toi, mon coquin, tu t'es envoyé en l'air. Et ça devrait être rudement bon, à voir ta tête d'ahuri !
- Mieux que ça Gher' .
- Par les mamelles d'Evgrayden, j'enrage, car je sais pertinemment qu'en plus tu ne me donneras aucun détail... Si ?
- Non !
- C'est bien ce que je me disais, j'enrage !
Au bout de trois minutes, Gher' ne put s'empêcher de reprendre :
- Même pas un petit détail comme ça en passant ?
- Inutile d'insister.
Cinq minutes encore. Et puis :
- Allez, pour un viux pote comme moi, tu peux bien faire un effort !
- Loki libidineux, tais-toi donc et marche !
Un paté de maison plus loin :
- Tu sais qu'on t'a entendu crier à travers tout le manoir ?
- Gher', maudis sois-tu... fermela !


- Je ne vois pas poursuoi j'irais m'enterrer dans une mine... Toi, tu ne veux peut-être pas entendre parler de vacances, mais tel n'est pas mon cas ! Je vais donc me promener dans cette bette ville et comme je ne suis pas un ingrat, j'en profiterai pour poser des questions sur Nozzo.
- Ne me prends pas pour un imbécile, je te connais trop bien. Tu vas faire le tour des tavernes, oui ! Et trouver une femme, si tu peux.
- Et poser des questions sur Nozzo, n'est-ce pas ce que j'ai dit ? Allez, on se retrouve ici, bonne mine !


Gheritarish s'empressa de lever la main. Cellendhyll ne lui laissa pas le temps d'ouvrir la bouche :
- Je veux dire des questions autres que « quand est-ce qu'on mange ? » ou « qui veut aller au bordel ? »
Le loki baissa sa main.
- Bien, alors à tout à l'heure. Rompez.


- Allumez le feu, fit elle d'un ton autoritaire, sans se retourner.
De nouveau, le vernis de politicienne. De dirigeante. Cela suffisait comme ça, estima l'Adhan.
- Non, rétorqua-t-il fermement. Vous voulez du feu, débrouillez-vous. Je ne suis pas votre larbin.
Elle se retourna d'un bloc, furieuse :
- Comment osez-vous ? Personne ne me parle sur ce ton !
- Moi, si, dit-il.


La politique ! Une hypocrisie sans nom qui permettait à un petit nombre de vivre sur les espoirs de la masse, profitant d'une opulence insultante.


- A la vie ! scanda-t-elle d'un ton joyeux.
- A la vie, répéta-t-il avec plus de gravité.
Songeant qu'il était plus du genre à trinquer à la mort.



La cote 512 _ Thierry Bourcy


La mort toute proche, à portée de main, juste au-dessus d'eux, effrayante et tentante comme le vide...

L'agent des Ombres _ Michel Robert


- Si le colonel avait été là, il nous aurait concocté un plan nettement plus brillant, maugréa Stariss.
- C'est pour ça que le colonel était colonel, rétorqua Axo, que moi je sis sergent et que toi, Starr', tu n'es qu'un trouffion. Maintenant cesse de râler ou, tout costaud que tu es, tu vas prendre mon poing de sergent dans les dents !



« Les ennemis jurés dans la vie s'alliaient dans la mort. »