Qu'est ce qui prouve tout sa ? [PV: Utopie]

Invité

Je sortie de la salle de classe, portant des livres assez lourd pour étudier, je fis la grimace, jamais je n'aurais pensée que les livres était si lourd. Je m'avance en gambadent vers l'endroit rêvé pour étudier, où ceux qui n'aime pas l'ennuie, comme moi. Un sourire se dessine sur mes lèvres pour pas que les autres me remarque et me prenne pour une petite fillette de seize ans alors que j'en avais vingt deux ou vingt trois, je sais plus sa fait un moment que je m'étais arrêter de compté. À quoi bon savoir mon vraie âge sachant que je resterais pour toujours une fille de seize ans. J'ouvre la porte en fesant une tête étrange dirais je, car la porte assez durt à poussez. La porte me répondit d'un long grincements à en faire peur aux "enfants". Je rentris donc, la pièce était lugubre et d'une simplicité à en coupé le souffle. Les meubles était taillés fait main, il était sculpter d'ovale et au bout des sortes de pattes avec des griffes. Je pose les livres sur la petite table. Et je me penche pour examiner sa de plus près, j'étais venu plusieur fois ici mais je n'avais jamais remarqué ces sortes de pattes. Je les touches, les trippote , les examine. Ma main vint se placer sur les pattes, le bois solide et sûrement avec quelques écharde était merveilleux, sculpter d'une telle beauté. Je me lève ensuite, secouant ma robe blanche pour enlevé les saleté du sol plein de terre. Je plonge ma main dans mes cheveux roux pour bien les remettre, pour que je sois présentable. Je m'assois sur la chaine fait en bois elle aussi. Mes yeux s'illuminèrent d'un beau éclat couleur profondeur des océans. Les livres, sous le charme , s'élèvèrent tout seul , volant dans le vide, pour ensuite s'être remis à leur place tout seul. Puis un autre sortie de sa place habituelle, pour venir se poser devant moi. Mes yeux revint de la même couleur qu'au début, de leur éclat naturel. J'ouvris la page au début. Je lit le livre en le dévorant presque, un bruit retentit, me fesant retourner pour me perdre dans la lecture.
-Qui est là ?dis je par reflexe
Je me tourne vers le bruit, je plisse les yeux ne sachant pas quoi faire. Je regarde mais je vois rien. Que ? Mais.. C'est quoi ça ? Je me mord les lèvres inquiète. Mes yeux s'illuminèrent et une branche vola dans les airs de la fenêtre pour venirs devant moi par réflexe . Au cas où c'était un ennemi ou même pire...

29/12/2014

J'avais un devoir à faire pour les cours. Un travail assez ennuyant, je vous l'accorde, mais intéressant puisqu'il fallait aller à la bibliothèque pour le terminer. Il consistait à lire un livre qu'un particulier avait ramené d'en dehors de la boucle, plus vieux que le trois septembre 1940 et faire un exposé sur celui-ci : comment le monde était-il devenu ? Que c'était-il passé depuis la guerre ? Sans oublier les actualités et les conséquences de la guerre. J'aimais lire, j'allais souvent à la bibliothèque pour me distraire. Pour plusieurs personnes, la lecture ou la littérature n'était pas vraiment une distraction. Pour moi, si.

Je marchais dans les couloirs de la maison, croisant quelques particuliers : ceux qui sortaient de cours, qui rentraient des courses ou qui avaient finis leurs tâches ménagères. Il faisait un temps magnifique à l'extérieur, pas un souffle de vent, ni un nuage blanc dans le ciel. Le soleil illuminait les pièces grâce à ses rayons orangés.
J'arrivai devant la grande porte de la bibliothèque d'une magnificence grandiose. J'étais toujours surprise en arrivant devant l'immense entrée, aussi belle était-elle. Je rentrai à l'intérieur, en poussant la porte dans un immense grincement qui m'en fit mal aux tympans. Des étagères tout en hauteur se dressaient devant moi, l'odeur des vieux ouvrages m'emplissait les narines. D'après les quelques tables que j'apercevais, j'étais seule dans la bibliothèque. Cela m'aidera à mieux me concentrer pour mon devoir.
Je cherchai un roman ou un documentaire ne datant pas d'avant 1940, mais d'après. Un bouquin revenu du présent. J'en trouvai vite un, même s'il ressemblait plus à un documentaire plutôt qu'à une nouvelle. Je le feuilletai tout en cherchant une place dans la salle, et c'est au bout de quelques pas que j'entendis une voix claire résonner dans la pièce.

« Qui est là ? »

Je levai la tête de mon bouquin, cherchant de yeux la personne qui avait sorti ses paroles. Une jeune fille rousse était assise à une table, un livre devant elle, sur la table. Qu'avait-elle ? Tout le monde avait le droit de se balader entre les étagères, ce n'était pas un crime. Je regardai plus haut. Mon imprimé tomba en arrière pendant que je fis un pas en arrière. Une branche d'arbre suspendait en l'air, prête à fondre sur moi à tout moment. J'imaginai que cette dernière planait grâce à la particularité de la jeune fille : la télékinésie. Si cette branche me fonçait dessus d'un seul coup, j'aurais le moyen de la dévier. Malheureusement, mieux ne valait pas utiliser ma particularité dans une bibliothèque, où tous les livres s'envoleraient.

« Eh oh ! On se calme. Qu'est-ce qu'il te prend ? »

Invité

Je retiens mon souffle, j'avais peur, tellement que je me mordillais la lèvre plus fort, à présent en sang. Je m'avance un peu plus, où la branche me suivait. Je fu étonné que ce n'était qu'une jeune fille à peu près de mon âge. Je soupir, à présent elle devait me prendre pour une folle ou une je sais pas trop quoi. De mon pouvoir, je remets la branche dehors et je ferme la fenêtre. Mon coeur battait de moin en moin vite, soulagé, Tant mieu. Mes yeux redeviennent d'un couleur naturel. Bonjour la ridiculation. Mes pommettes deviennent rouge de honte. Je lui sourit et lui fait un petit signe. J'avais très honte de moi et de ce que j'ai fais.
-Eh oh ! On se calme . Qu'est ce qu'il te prend ?
J'étais étonné par sa réaction, les peu de fois qu'on c'était vu c'était en classe ou dans les couloirs . Je n'avais jamais vraiment discuter avec elle. Je ne savaits pas son caractère. Je n'aurais jamais cru être dans une situation pareille. Au fond de moi, je n'avais jamais eu peur de quelqu'un de mon âge. Oui j'étais folle , idiote et tout les mots pouvant me qualifié d'incapable. Je remets ma robe droite et je m'arrête devant elle.
-Je suis vrai désolé, j'ai eu peur. Pas de toi non... C'est que je ne savais pas ce que c'c'était toi. Enfin bref, tu me pardonne ?

Ell ne réagit pas trop, je lui adresse un sourire. Je prend une chaise et je m'assois à côté d'elle. Je me méfie quand même, mais je ne savais pas sa particularité. Et si sa particularité était de tuer je devrais vraiment me méfier
-Je sais , je suis idiote...

29/12/2014

A mon plus grand soulagent, elle jeta la branche à l'extérieur et ferma la fenêtre. Je regardai la jeune fille rousse qui venait de s’asseoir à la table que j'avais choisi pour lire mon bouquin. J'avais décidé de lire en paix, mais apparemment, d'après cette particulière, personne d'autre qu'elle n'avait le droit de rentrer dans la bibliothèque. Peut-être avait-elle voulu être seule, mais il existait d'autres endroits dans la maison pour l'être. Comme sa chambre, par exemple.

« Je suis vraiment désolée, j'ai eu peur. Pas de toi non... C'est que je ne savais pas que c'était toi. Enfin bref, tu me pardonnes ? »

J'hochai la tête et lui rendis son léger sourire. C'était dangereux de rester avec elle dans une même pièce, dis donc ! Si sa particularité était vraiment la télékinésie, elle pouvait faire passer n'importe quel objet dans la salle.
Je m’asseyais à ses côtés, reprenant mon bouquin qui était tombé par terre.

« Je sais, je suis idiote...
-Ce n'est pas grave. » répondis-je en feuilletant mon livre.

Cet imprimé avait l'air vraiment intéressant, et j'avais presque hâte de commencer mon devoir pour les cours. Mais j'avais l'impression que la jeune fille assise à côté de moi me fixait. Peut-être qu'elle avait envie de parler, le problème, c'est que je devais travailler. Pourtant, son regard me gênait. Je tournai la tête vers sa petite tête rousse et je me rendis compte qu'elle avait environ mon âge.

« Comment tu t'appelles ? » demandai-je.

Invité

Je me balança sur la chaise, quand je dis ma première phrase, l'inconnu hocha la tête pour dire oui. Et me rendis gentiment mon sourire. Je cligna rapidement des yeux, jamais je n'aurais cru qu'elle me pardonnerait si facilement. Tant mieux. Je connaissais un peu , très peu , je savais juste qu'elle traînait souvent toute seule. Je la regarda, longtemps. Elle est belle ! Pourquoi n'a t'elle pas d'amis ? Était ce à cause de son caractère. Moi je l'imaginait plutôt calme et à vouloir se faire des amies. Alors pourquoi restait t'elle toute seule ? Ou bien c'était les autres qui l'a laissait ? En parlant d'elle, elle s'assit à côté de moi là ou je venais juste de me mettre pour aller la voir. Et elle prit son livre tomber par terre. Je regarde le titre , il avait l'air intéressant.
-Ce n'est pas grave. dis t'elle
Elle commença à lire son livre, alors j'arrête de la regarder. Je met mon cou sur la table , entouré de mes bras. Je plonge mon nez dans mes bras, à présent on ne voyait que mes yeux. Alors je me lève pour retourner à ma place comme ça j'arrête de l'embêter.
Comment tu t'appelles ?
Je me retourne, et je la regarde. Voulais t'elle sympathiser ? Je lui adresse un sourire. Pourquoi pas après tout ? Alors je revient à la table. Mes yeux s'illumine, et le livre que he lisais sur l'autre table vient se placer devant moi. Je me gratte le cou.
-Je m'appelle Katty, Katty Haïko. Et toi ? demandais je.
J'avais dis sa en espérant qu'elle me réponde.

29/12/2014

« Je m'appelle Katty, Katty Haïko. Et toi ? »

Je n'avais jamais entendu parler de cette jeune fille avant. Peut-être était-elle arrivée il y a peu, qui sait ? Je connaissais environ la moitié des particuliers qui vivaient dans la maison, mais bien sûr, seulement de vue. Comment pourrais-je connaître tout le monde en sachant que personne ne m'adressait la parole ?

« Hope. Juste Hope. »

Je me remis à feuilleter mon livre, je devais vraiment me mettre à mon travail, pour finir le devoir dans les temps. Malheureusement, la personne à côté de moi n'allait pas me laisser faire ce que je voulais. Sans doute voulait-elle en savoir plus sur moi, ou peut-être faire connaissance. Je refermai mon bouquin une fois de plus, dégageant de la poussière dans les airs.

« J'ai deviné que ta particularité était la télékinésie, je me trompe ? »