Alma M. Dewitt - A Mon très cher Père...

MENTALITÉ

Je suis quelqu'un qui préfère ce faire discrète, le social n'est pas réellement mon truc a première vus, et je celle qui ne parle que très peut, uniquement quand cela est nécessaire. Me poser des question, s’intéresser a moi est décourageant : je semble être une vrais forteresse que seule les plus téméraire peuvent traverser.
Solitaire ? Il parait. Asocial, sûrement pas ! Réserver ? Certain le dise. Je ne m'attache que très peut rapidement au gens... Mes expériences en relation on finit par me donner une appréhension a la relations. Toutes les personnes que j'ai connus et aimer son morte, alors je suis seule. Mon seul lien avec le social, ce sont mes lettres et mes photos, je ne les montre à personne et je préfère ne pas en parler. C'est mieux ainsi. Je n'ai besoin de personne, tout du moins, c'est que je souhaite.
En dépits de mon manque de relation, ma particularité m'offre une grande imagination, que je cultive en dessinant ou en écrivant quand je suis seule, c'est a dire en permanence.  Tout du moins, autant que possible.

J'ai peux être un caractère de dépressive avec les inconnues, mais au fond, je suis une fille pleine de joie de vie et de bonheur, il suffit de savoir me connaître. Je peux être dure et froide, mais je suis quelqu'un d'aimable et de profondément tendre avec mes amis. Quand ils arrivent a briser ma forteresse. Ce qui est rare.

J'ai acquis une certaine maturité avec mes voyages, les épreuves que j'ai pus connaître m'ont offert une maturité que seule les ages peuvent égaler. Je sais réfléchir dans l'urgence et trouver des solutions si ils le faut, il faut une certaine force d'esprit pour surmonter une vie de Particulier, surtout en étant une femme dans une époque où c'est loin d'être évident d'être une femme...

BIOGRAPHIE

''Quelque part en 1875

Mon très cher Père
Je sais que jamais cette lettre pourra te trouver, mais sache que tu me manque beaucoup. Chaque jours semblent être les même sans toi. Ils le sont, en quelque sorte. Tout mes efforts mobiliser pour te revoir se sont avérer vain...
Ta disparition soudaine en 1912 suite a l'attaque de la Boucle de Berlin par les Estres, j'ai l'impression de ne plus être la même. Mais, même si la boucle c'est effondrer, je vais bien. J'ai réussi a me réfugier a temps dans une autre boucle, en 1875. le temps m'a inévitablement rattraper entre-temps, mais pas assez pour que je vieillisse trop. Les autres enfant n'ont pas eu cette chance...
J'ai voyager de boucle en boucle, d'année en année, dans l’espoir de te revoir, suis-je égoïste de vouloir mon père prêt de moi ? Peut-être, diront certain. Mais je m'en moque.
Tu me manque beaucoup, mais je sais que jamais cette lettre pourra te trouver. Les Morts n’écrivent pas de lettre...

Ta fille qui t'aime...''

Voici la dernière lettre que j'ai envoyer a mon père... Bien stupide idée d’écrire a un mort. Les morts ne reçoivent pas de lettre et n'y répondent pas non plus. Tout en rangeant mes affaires, je suis songeuse. Ses plusieurs dizaines d'année passer seule a voyager ont l'air d'être passer si vite... Une impression qui disparaît bien rapidement quand je compte les années.
Ma triste histoire a commencer en 1852 quand ma mère me donna naissance. La petite tête aux cheveux noir que j'étais ne fut pas tout a fait comme les autres. Je suis ce qu'on appelle une ''Particulière''. Je possède un ''particularité'' qui fait de moi une personne différente des autres. Ma particularité est de pouvoir modifier la réalité dans mon champs de vision. Je peux modifier tout ce que je souhaite. Effacer, crée, inventer, tout m'est possible. Sauf de faire disparaître quelqu'un, sa, je ne peux pas. Même je n'ai jamais essayer.
J'ai grandis comme une fille normal, jusqu'en 1857 néanmoins. Cette funeste date fut celle de la mort de ma pauvre mère, succomber de maladie. Nous n'avions plus d'endroit où aller. Mon père et moi étions détester prit pour des monstres, car oui, mon père était lui aussi un Particulier. Nous sommes aller dans la boucle de Berlin, d'où mon père fut originaire. Nous avons été accueillit chaleureusement, et nous y avons vécu en paix. Je croyais vivre dans un Paradis éternel et immuable. Mais mon paradis c'est effondrer. Au sens propre autant que figurer...
Ils sont arriver. Eux. Les Estres. J'avais entendu parler de ce qui c'était produit en 1908 avec les Sépulcreux. Mais jamais, a l'époque, je ne les aurais crut capable de tel atrocité. Ils tous détruit... Ils les ont tous tuer. Papa a essayer de me défendre, de me protéger... Mais... Il n'a pas put résister...
J'ai fuis, quand la boucle c'est effondrer, j'ai fuis pour trouver une boucle a temps, j'avais sauter de 1800 et quelque a 1912. Étant originaire de 1857, je serais passer de petite fille a une femme de 55 ans. J'ai fuis, j'ai courus autant que j'ai pus. J'ai vieillis. Mais pas assez. Je me suis réfugier a temps. Mais j'étais passer de 5 ans a 18 ans...
Au début, je souhaitais me venger, je voulais tuer ceux qui m'avais prit mon père... Après la colère, la tristesse. Je voulais les revoir, je voulais le sauver, si je voyageais assez loin, je pourrais le sauver et l'avoir de nouveau avec moi. Suis-je égoïste ? Peut être. Mais je m'en moque, mon père me manque... Au fils de mes voyager, j'ai pris 5 ans de plus, suite a des accidents de voyage dans les boucles que je visitais.

Depuis quelque semaine, je suis sur une piste, un surprenant événement c'est produit. C'est Ben... Un homme que j'ai rencontrer dans une des boucles où je suis tomber par accident. Nous étions devenu proche... Mais les Sépulcreux et les Estres... Ils... Nous avons été séparer. Je n'avais pas trouver son corps alors je n'avais eux aucune certitude de sa mort. Mais au bout de 100 ans, j'avais perdu espoir de le revoir en vie... Mais... J'ai reçus une photo, signer de sa part. Où il me dit que je lui manque, il m'a demander de le retrouver a Cairnholm... Ce pourrait-il que se soit vrais …?